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Recherche par lecteur : Polyphonie, Bertrand Baumann, Gérald Bloch, Jean Frey, Jacques Zurlinden

23 résultats. Page 2 sur 2.

Durée:53min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:18935
Résumé: Dans la salle de dépôts des « petites et grandes inventions », une charmante jeune femme, Agnès, tente d'obtenir un rendez-vous avec le Président de l'institution pour obtenir une place. Un peu gauche, elle ne réussit pas à passer la barrière de l'huissier. Un monsieur de Bellac alors lui donne un conseil : pour obtenir ce qu'elle souhaite auprès des hommes, elle doit simplement leur dire « qu'ils sont beaux », et de les comparer à un « Apollon de Bellac », statue grecque évidemment fictive. Dubitative, mais confiante en cet inconnu, elle s'essaie dès lors systématiquement au stratagème auprès des différents fonctionnaires de l'administration et finit ainsi par atteindre le Président du bureau. Celui-ci, charmé par l'« aveu » fait par Agnès sur sa beauté renonce à son mariage et se déclare à Agnès. Dans une ultime déclaration, faite les yeux fermés au monsieur de Bellac, Agnès s'enflamme pour cet Apollon imaginaire qui lui a tant servi. (wikipédia)
Durée:1h. 21min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:18901
Résumé: Simon Weinberg est mort. Un matin de novembre, il est, selon ses propres voeux, enseveli dans la propriété familiale du Loiret. Il fait beau. Ils sont six. Frères et soeurs, amants ou mari et femme. Le deuil leur donne le privilège de vivre, isolés, quelques heures sous le soleil qui s'attarde, à l'ombre du disparu, sous les arbres, dans la maison aux murs familiers, cet instant indescriptible où l'on retient son souffle, ce moment intense entre l'absence et le retour aux choses, entre le manque et la vie.
Durée:1h. 42min.
Genre littéraire:Théâtre
Numéro du livre:18911
Résumé: Voici réunie en un seul volume l'œuvre de dramaturge de Yasmina Reza. Conversations après un enterrement, La Traversée de l'hiver, Art, L'homme du hasard, ont en quelques années imposé sur la scène française un auteur dont les huis clos, train, hôtel ou living, sont autant de prétextes à des comédies subtiles et décapantes, d'un ton profondément moderne.